C’est ce que rapporte le Télégramme dans son édition du 30 mars dernier. Basé sur une location à courte, moyenne ou longue durée, ce service serait différent des modèles actuels, de type vélib’, jugé trop cher. D’un budget plus réduit, le projet de la ville de Lorient mise également sur des ateliers d’entretien et de réparation, à vocation d’insertion sociale.

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